Cette semaine, le mardi 5 février, les Cyberelles et quelques « Cyberelles friends » se sont réunies à l’Espace Weleda pour la première soirée 2013 du réseau. Plus de 50 participantes sont venues se retrouver pour une soirée conviviale et networking.
L’association Cyberelles s’attache à créer des occasions de networking intelligentes et opportunes, qui favorisent les échanges de « best practices » et peuvent donner à ses membres les moyens de mieux réussir dans leur carrière et de faire progresser leur entreprise. Certaines soirées, comme celle de mardi, sont également ouvertes aux « Cyberelles friends », c’est-à-dire aux femmes e-entrepreneuses ou web managers intéressées par le réseau et qui ont le goût de l’échange et du partage. Une occasion pour ces friends de découvrir les membres et parfois de devenir adhérentes.
Le principe des soirées Cyberelles est aussi de passer un agréable moment après une longue journée de travail. Pour cette raison, cette soirée a été organisée à l’institut de beauté Weleda*, espace de bien-être, où les participantes ont pu apprécier un long massage relaxant des mains et des avant-bras. La plus chanceuse d’entre elles s’est même vue offrir un massage d’1h15, suite à un tirage au sort. De quoi networker en toute sérénité…
Le 21 décembre dernier avait lieu à Paris le « Forum de la mixité », salon BtoB organisé pour la deuxième année consécutive par « Connecting Women », agence de consulting et de communication au féminin. Cyberelles était bien sûr au rendez-vous.
Les trois mots clés de ce salon dédié à la réussite féminine : s’informer, se former, networker. S’informer grâce à la présence d’une soixantaine d’exposants : institutionnels, entreprises, écoles, universités, consultants et réseaux engagés sur la mixité. Se former en assistant à certains des 20 ateliers réservés aux exposants et à leurs invités pour faire le point avec les meilleurs experts du moment sur les thématiques clés. Networker, grâce à la présence d’experts du monde politique, de l’entreprise et du monde académique, mais aussi de femmes cadres, cadres sup, dirigeantes, entrepreneures et hommes investis sur le sujet, et enfin de responsables de réseaux de femmes. Les trois « Business Quick Meeting » de la journée, organisés par AG2R La Mondiale, étaient aussi l’occasion rêvée de partager ses pratiques et d’enrichir son carnet d’adresses, par des rendez-vous informels et rapides autour d’une table.
Cyberelles a assisté à plusieurs ateliers dont Leadership et Visibilité. Le principe de ces ateliers, animés par deux experts de la thématique, est de laisser au maximum la parole à l’audience, afin que les participants et participantes échangent sur leurs expériences, les initiatives prises par leurs entreprises ou leurs réseaux, mais aussi leur ressenti sur le sujet. Dans le premier atelier, on constate que chacun a sa définition du leadership : autorité pour les uns, charisme pour les autres, tous n’évoquent pas les mêmes qualités pour constituer cette capacité à fédérer une équipe autour d’un projet. Là où certains y voient surtout des compétences techniques, un travail de communication maîtrisé, d’autres parlent de leaders « inspirants », dont le charisme semble inné et qui emmènent leurs équipes par leur « vision ». D’où cette interrogation : le leadership peut-il se travailler ? Est-ce une aptitude innée ou acquise ? Les deux animatrices amènent peu à peu les participants vers ce constat : le leadership repose bien souvent sur une bonne estime de soi. Et c’est là que le travail profond sur soi diffère selon les personnes, plus ou moins confiantes en elles-mêmes. De nombreux ateliers ont vu le jour ces dernières années pour aider les professionnels, et notamment les femmes, à améliorer leur leadership. Qu’ils soient innés ou acquis, les piliers du leadership sont des qualités unisexes qui se travaillent et se perfectionnent, même si chacun est ensuite libre d’avoir son « style » de leadership.
Remplies d’optimismes sur notre capacité à acquérir du leadership, nous avons ensuite assisté à l’atelier Visibilité. Tout a commencé par un constat assez alarmant sur le peu de visibilité des femmes, en tant que professionnelles, dans les médias : à la radio, seules 23 % des experts interviewés sont des femmes, ce chiffre dégringole à 18 % à la télévision et à 17 % dans la presse papier. Ce manque de visibilité se retrouve dans les entreprises où les femmes hésitent bien souvent à faire parler d’elle et à « signer » leur travail : leur perfectionnisme et leur peur de sembler arrogantes les empêchent souvent de s’exprimer publiquement. D’après plusieurs enquêtes, les femmes accordent plus d’importance au « savoir-faire » qu’au « faire-savoir », contrairement à la plupart de leurs homologues masculins qui ne négligent pas leur visibilité et leur notoriété. Les femmes, souvent centrées sur l’opérationnel et le résultat, perdent souvent de vue qu’être « connue » n’est pas toujours loin d’être « promue » : d’où l’importance de soigner sa visibilité, tant en interne qu’en externe. Tout comme le leadership, la visibilité repose sur des qualités à mettre en œuvre, afin d’optimiser son image au quotidien. L’atelier a ainsi énuméré les moyens possibles pour se faire connaître, de manière appropriée, au sein de l’entreprise comme dans son réseau externe et jusque sur la toile, par l’intérêt porté à son e-réputation.
Pour poursuivre la réflexion sur les thématiques des ateliers, la librairie Violette & Co proposait de nombreux ouvrages : parmi les auteurs, citons Catherine Vidal, Geneviève Fraisse ou Alain Piot. Neurobiologie, philosophie, sociologie : la mixité s’envisage par tous les modes d’approche et de pensée. Certains auteurs étaient d’ailleurs présents pour une séance de dédicace voire débattre sur leurs livres aux titres évocateurs : Les mecs lourds ou le paternalisme lubrique, Guide de l’auto-coaching pour les femmes, Devenir mère et réussir sa vie professionnelle, La génération Y par elle-même, etc.
Cette deuxième édition du Forum de la Mixité a connu un franc succès. Loin de penser à la fin du monde, de nombreuses participantes et même quelques participants sont venus envisager un avenir toujours plus égalitaire. Nous attendons avec impatience la prochaine édition !
La premire soirée Cyberelles de l’année se passe à L’Espace Weleda le mardi 5 février de 19h à 22h30.
Programme :
arrivée à 19h
atelier de massage relaxant des mains et avant-bras : de 20h à 21h30
Tirage au sort à 22h
Fin de soirée autour de 22h30
Les plus de la soirée :
Buffet sushis/maki et champagne
L’Espace Weleda vous offre -15% sur tous les produits de la boutique (sauf offre spéciale ou mini-contenance)
Un petit sac surprise pour toutes
Espace Weleda: 10 avenue Franklin Roosevelt, 75 008 Paris
Métro Franklin Roosevelt ou Saint Philippe de Roule
Pensez à apporter vos cartes de visite (surtout si vous souhaitez participer au tirage au sort) et, pour les Cyberelles inscrites, votre petit badge de reconnaissance !
Le prochain atelier de Cyberelles aura lieu le 31 mai à Paris chez notre paternaire Frenchweb qui nous accueille.
Intervenante : Anne Aime fondatrice de 2wayconsulting
Contenu
repères sur les médias sociaux : définition, mythes et réalités
utilité et usage des médias sociaux pour les personnes et les entreprises
comment définir une stratégie pertinente, mettre en place le projet, mesurer les résultats ?
quels résultats en attendre, en combien de temps ?
Q/R
Au fil de ce plan, les sujets suivants seront abordés, grâce à des exemples et des analogies entre lavie réelle et virtuelle :
vie perso/vie pro
visibilité de la personne, visibilité de l’entreprise (droits et devoirs liés)
articulation du virtuel et du réel, les relations 100% virtuelles
la préservation de la vie privée
Forme
Traitement des sujets ci-dessus, dans un format d’échange (invitation si public passif au départ, réception des questions au fur et à mesure, traitement de suite si réponse courte, en fin si demande un développement plus long)
idéalement une durée de 90 minutes (au-delà l’attention se perd, et le bénéfice n’est pas pertinent)
Modalités pratiques
10 participantes max pour garantir la qualité de l’échange.
Inscription au préalable auprès de sonia (at) cyber-elles.com.
Qui êtes-vous ?
Je m’appelle Catherine Dang, j’ai 44 ans, je suis née en France de parents vietnamiens.
Quel est votre parcours ?
Diplôme HEC en main, je n’avais pas d’objectifs particuliers sinon un fort intérêt pour l’international et l’interculturel d’une part et le marketing d’autre part pour sa composante psychologique.
Ma première expérience a été une véritable formation. J’étais responsable d’une ligne de produit au sein d’une PME, mais avec les exigences d’une grosse structure. C’est pendant ces 5 ans que j’ai acquis les fondamentaux du fonctionnement d’une entreprise.
Ensuite j’ai rejoint une société de conseils à l’export sur le marché asiatique pour répondre à mon deuxième centre d’intérêt : la dimension internationale.
Cette expérience m’a ouvert les yeux sur les différences culturelles et les incompréhensions mutuelles souvent à l’origine de l’échec ou du succès d’un projet.
Mon mari ayant été expatrié en Tunisie, j’ai intégré Colgate-Palmolive en charge du lancement de nouveaux produits sur ce marché en développement.
Après le chinois et le japonais, me voilà partie pour entamer des cours d’arabe.
Retour en France, toujours chez Colgate-Palmolive mais cette fois-ci pour le marché des Dom Tom. J’ai alors touché les limites du marketing : trop éloignée du terrain j’avais trop peu d’impact sur l’opérationnel. J’ai quitté cette multinationale pour rejoindre une start-up dans les nouvelles technologies. C’est cette dernière expérience qui m’a donné envie et permis de créer ma propre entreprise.
Quelle est votre entreprise actuelle ?
En 2007, nous avions pour idée de créer, autour d’un usage mobile, un bouquet de chaines, telles que BBC, CNN, Al Jazeera, … 11 chaînes au total dans 5 langues qui s’adressaient aux communautés étrangères.
L’arrivée en 2009 de l’Iphone a mis à mal notre offre. En collaboration avec des enseignants de langue anglaise, nous avons réorienté notre service mobile my4n-news vers l’apprentissage des langues par l’actualité en immersion, en l’enrichissant de fonctionnalités linguistiques simples.
Par exemple, tous les articles comportent un dictionnaire intégré : on peut cliquer sur n’importe quel mot pour en avoir la définition.
Les vidéos sont sous-titrées en anglais pour améliorer sa compréhension orale. Les quiz permettent de s’auto-évaluer dans un espace personnel de révision.
Ces services s’adressent aussi bien aux salariés et étudiants qui veulent progresser en anglais qu’aux professeurs qui utilisent l’actualité comme support pédagogique. Et nous avons décliné des offres pour particuliers, entreprises, écoles… Nous avons beaucoup d’idées et d’ambition : élargir le contenu à d’autres langues, à d’autres supports… mais il faut du temps pour construire les bases solides de notre activité innovante dans un environnement très mouvant !
Cette année sera décisive pour l’avenir de 4n Media Group!
Si jeunesse savait et si vieillesse pouvait ?
Je suis aujourd’hui la somme de mes succès et de mes échecs. Je suis là où je suis maintenant grâce à/ à cause de toutes les expériences qui m’ont incité à poursuivre ou au contraire détourné d’une voie.
Si je vous offrais une deuxième vie ?
Je la consacrerais à une carrière artistique, à la peinture
La réussite, l’ambition pour vous c’est ?
La réussite ne se mesure pas pour moi en termes d’argent, ce n’est pas l’avidité qui me meut. J’aurai réussi lorsque j’aurai démontré qu’il existe d’autres modèles de réussite, basés sur l’humain dans une perspective de long terme.
Quels en sont les ingrédients ? Mon mari, il est partie essentielle de mon cheminement.
Nos 4 enfants, qui m’ont éclairé sur la nature humaine et moi-même, mes choix, mes valeurs. Je me sers tous les jours de mon expérience familiale dans le management.
Ma rencontre avec mon premier boss : une personne d’une très grande valeur, le « Manager »
Votre talent caché ? Je suis peintre
Une citation, un modèle ?
Je n’ai pas de modèle … il m’est difficile de répondre à cette question. J’ai besoin de créer mes propres repères. L’indépendance d’esprit est une des qualités que j’estime le plus.
Un mot à propos des Cyber Elles ?
Le réseau Cyber Elles est une force extraordinaire et j’y ai fait de très belles rencontres. J’apprécie d’autant plus la solidarité féminine qu’elle s’exprime de manière subtile et implicite. C’est pourquoi j’ai souhaité contribuer au Concours Power Starter de Cyber Elles qui met à l’honneur les projets de femmes entrepreneur issues de la diversité.
Bonjour, je suis la directrice marketing et consulting de la société Digital Commerce Factory. Je suis issue de la région nantaise et j’ai 38 ans, je suis mariée et ai deux enfants de 8 et 6 ans.
Quel est votre parcours ?
Après l’obtention d’un double diplôme franco-allemand ESC Toulouse et Université des sciences de Berlin, j’ai démarré ma carrière en marketing grande consommation chez Danone en Allemagne dans leur division Biscuits puis en Angleterre, chez Lactalis pour gérer la marque Président et développer des desserts MDD pour le comptes des distributeurs britanniques. Fin 2000, de retour en France, j’intègre la division Grand Public de Kodak en tant que chef de produit, puis chef de groupe pour développer la catégorie des appareils jetables en Europe. Après une mission de catégory management, je découvre mi 2005 l’univers du web et me vois confier la responsabilité de lancer l’activité e-commerce de kodak en Europe. C’est le début d’une véritable passion pour l’e-commerce et internet. Début 2011, je décide de relever un nouveau défi dans le domaine du conseil en e-commerce auprès des marques et des e-commerçants et je rejoins le cabinet de conseil Malinea. En juin 2011, notre cabinet s’associe aux fondateurs du Groupe Vente-Privée pour créer une agence e-commerce full service, Digital Commerce Factory.
Quelle est votre activité actuelle ? Aujourd’hui, je dirige les pôles conseil et marketing de la Digital Commerce Factory. Ma mission consiste à accompagner les marques et e-commerçants dans leurs projets e-commerce : audit de site, accompagnement au changement, stratégie d’acquisition et de fidélisation, aide au pilotage de projets e-commerce. Pour certaines marques dont nous créons les sites, notre mission consiste à développer leur activité e-commerce et surtout de leur donner les clefs pour gérer à terme ce canal de vente.
Si jeunesse savait et vieillesse pouvait ? Dans mon parcours professionnel, non. Mais dans ma vie d’étudiante, je regrette de ne pas avoir passer plus de temps à voyager.
Si je vous offrais une deuxième vie ? Définitivement la peinture et le dessin : une passion que je néglige trop souvent, hélas par manque de temps.
Un modèle, une citation ? Un proverbe chinois : Il n’y a que les bébés qui pleurent qui tètent. Et sinon, une citation de Zig Ziglar : « It is not your aptitude, but your attitude, that determines your altitude ».
La réussite, l’ambition selon vous?
La réussite professionnelle? C’est être content de se lever le matin pour aller travailler! L’ambition, c’est garder chaque jour en tête son rêve en ligne de mire. C’est le moteur de la réussite professionnelle.
Quelles sont les qualités qu’il faut avoir d’après vous pour les accomplir? Détermination et foi en soi.
Quels sont vos ingrédients secrets qui font que vous soyez là où vous êtes aujourd’hui ? Mon énergie, mon enthousiasme et mon mari !
Quel est votre talent caché ?
Je l’ai cité précédemment, à vous de le trouver:-)
Pour finir un mot à propos des Cyberelles ?
Ce que j’aime dans le réseau Cyberelles, c’est sa dimension à taille humaine, l’authenticité et la simplicité des échanges.
Qui êtes-vous ?
Je m’appelle Phane, je suis née à Lille au sein d’une famille traditionnelle, aimante avec une éducation plutôt classique. Me sentant un peu à l’étroit j’ai très vite voulu m’émanciper et partir Paris.
Quel est votre parcours ? Après des études d’économie dans le Nord, je suis partie faire Science Po, un choix qui légitimait mon départ de la maison.
Pour les besoins d’un stage, j’ai rejoint la filiale horlogère et joaillère de Chanel. Mon intérêt pour le luxe, les responsabilités que l’on m’a très vite attribuées et le challenge passionnant à relever ont fait que je suis restée au sein de cette équipe près d’un an . Ensuite j’ai pris la décision de voyager. Je suis partie vivre au sein d’une famille aux USA. J’étais la « personnal shoppeuse» d’américaines et grâce à de petits boulots j’ai pu sillonner les Etats-Unis.
De retour en France, j’ai rejoint Arcancil en tant que chef de produit. C’est à ce poste que ELLE m’a contactée pour rejoindre la régie publicitaire de ELLE France.
Ce fût une expérience passionnante dans des univers sympathiques et valorisants ; la mode et la décoration dans un contexte international en forte croissance. En 15 ans passés ensuite chez ELLE International puis à la régie globale d’Hachette Filipacchi Média, l’équipe est passée 15 à 70 personnes, le chiffre d’affaire de mon unité a été multiplié par 7, et nous lancions 4 magazines par mois à travers le monde.
En parallèle j’avais fondé une famille, j’avais un peu moins envie de voyager et en qualité DGA puis DG, j’héritais de N+1 successifs qui limitaient mon autonomie.
J’ai commencé à me poser des questions sur mes perspectives d’épanouissement ailleurs ; mon hyperspécialisation internationale dans le plus gros groupe de presse me laissait peu de choix d’évolution dans ce métier et ce secteur. J’ai pris la décision de suivre un EMBA HEC, une expérience formidable qui m’a permis, à 40 ans « de réapprendre à apprendre », « d’apprendre à oser » (tel est le motto d’HEC) et de sortir de mon environnement tout en élargissant mon réseau.
Retour en entreprise au moment où Lagardère reprenait le groupe et les audits et plans sociaux ont suivi…. Après 18 ans de carrière, j’ai quitté Elle et la régie internationale de Lagardere.
Quelle est votre entreprise actuelle ?
J’ai toujours su que j’avais envie de créer une entreprise. Quitter ELLE m’a permis d’avoir le recul nécessaire à la réflexion. A ce stade et avec l’aide d’ un outplacement les idées me sont venues plus aisément. J’ai crée LESSisRARE.fr début 2010. Je voulais rester dans le luxe et jouer sur la rareté. Importer et introduire des marques fortes en France et réciproquement. Je me suis vite rendu compte que cela était assez complexe.
Aujourd’hui LESSisRARE.fr est un concept store qui propose aussi des marques Françaises, voire parisiennes, d’objets rares, design et haut de gamme. Le site se recentre au fil du temps sur les produits qui fonctionnent le mieux, en l’occurrence les bijoux. Actuellement, le site en est à la V2 et sa version anglaise est prête à être lancée.
Si jeunesse savait et si vieillesse pouvait ?
Si j’ai un regret, c’est sans doute de ne pas être sorti plus tôt de chez ELLE. Je suis persuadée qu’il faut se challenger tous les 2 à 3 ans.
Si vous offrais une deuxième vie ?
Je suis une passionnée de toutes les musiques. Je consacrerais une partie importante de mon temps à la musique.
La réussite, l’ambition pour vous c’est?
D’avoir gagné une grande liberté dans mon rôle de femme. C’est aussi la conciliation de ma vie pro et ma vie familiale.
Quels sont les ingrédients de votre réussite?
Un soupçon de chance et de bonnes équipes. Travailler pour une grande marque internationale, voyager dans toutes les régions du monde, évoluer dans un contexte économique très favorable et s’épanouir dans un contexte féminin de mode, décoration et luxe.
Votre talent caché ?
Certainement l’adaptabilité et l’instinct produit. La première qualité m’a permis d’évoluer et de travailler avec une équipe composée de 15 nationalités différentes dans des contextes culturels très variés. Avec la seconde, je sens de suite le potentiel d’une marque ou d’un produit dont je deviens en quelque sorte l’agent chez LESSisRARE.fr
Une citation, un modèle ?
Mon mantra « Try, try if you fail, try again ».
Sinon j’aime beaucoup la citation de R. W Emerson puisqu’elle concerne mon activité en cours : « L’art du marchand consiste à prendre une chose là où elle abonde et l’amener là où elle est rare. »
Un mot à propos des Cyberelles ?
Je trouve ce réseau simple d’accès avec un bon état d’esprit. Les profils qui le composent sont généreux et bienveillants. Nous rencontrons les mêmes difficultés et l’échange est facile. C’est aussi un réseau pragmatique qui rend de vrais petits services au quotidien. J’apprécie aussi beaucoup les ateliers mis en place qui répondent à nos problématiques
Organisé par l’Internet Managers Club (lMC), le dîner de gala du jeudi 26 janvier sera aussi l’occasion de fêter les trois ans de l’IMC. Le réseau Cyberelles s’est associé à cet évènement et une dizaine de Cyberelles y participera.
Parmi les invités d’honneur à cette soirée, le Directeur Digital d’une société du Cac 40 et le PDG d’un grand e-commerçant pure player ainsi que quelques autres invités VIP surprises…
Nous ne manquerons pas de vous rendre compte de cet événement.
Les Cyberelles auront le plaisir d’accueillir pour leur 1er dîner 2012 Jean Francois Marti, fonndateur de l’agence Néalité; Agence spécialiste depuis 10 ans de « l’expérience utilisateur » ( ref : TF1, LCL , SFR,RATP, HSBC,…).
Le réseau Cyberelles organise régulièrement des ateliers métiers permettant à ses adhérentes de parfaire leur connaissances sur des sujets particuliers de l’univers digital et nouveaux media.
Le premier atelier 2012 aura lieu le 7 février2012, il portera sur le référencement nature et sera animé par Stéphanie Rivier, experte et formatrice en SEO.
Modalités pratiques :
Atelier de 12 à 14h avec 10 à 15 participantes (adhérentes à Cyberelles).